Il y a des heures qui comptent double dans ta vie.
Avec des W et de Z dedans.

Certaines ont été lumineuses, splendides ou glorieuses.
D'autre obscures, floues et terribles.

Celles-là, celles que tu bouffes rageusement pour ne pas les laisser te noyer, sont grisâtres, d'un blanc sali et boueux.
Ça sent les fins de règne, les ruptures silencieuses et les plaies qui cicatriseront mal.
Ça sent les fossés creusés à la main manucurée...
Ça sent les sourires figés et les masques saignants.

Et puis ça sent la taule froissée, mon fils qui a géré et qui pleure le matin.
Et puis ça sent la colère, la mienne. Envers moi, envers elle, sa génitrice...

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Bad day pour les coeurs ouverts...